Je suis le damoiseau1671137, docteur en rien ; je mets ici des choses que j'ai envie de partager, butinées sur internet, ou dans des livres, ou ailleurs…
Ce que je mets ici peut disparaître plus ou moins rapidement ; prenez vos précautions si vous voulez conserver quelque chose.
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« Rien n'est impossible, on peut tout Phèdre. »
Jean Racine
La façade d’un grand café parisien. Zoom sur l’enseigne un peu décrépie ornée d’un pouce blanc sur fond de peinture écaillée : « Le Facebook ».
Intérieur bondé. Moyenne d’âge : 55-60 ans. Les murs sont recouverts de publicité. Les clients sont visiblement tous des habitués et alternent entre ballons de rouge et bières.
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Dans une régurgitation préhistorique mise au jour au Brésil, les paléontologues ont identifié deux reptiles volants jusque-là inconnus. Un casse-croûte mal digéré devenu un trésor scientifique.
[damoiseau1671137] — Que j'aime ces coïncidences ! Hier, j'ai pensé à
la sonneuse et chanteuse écossaise Joanne McIver que j'avais découverte sur scène début avril 2025, en duo avec le harpiste Christophe Saunière, et j'ai commandé de ce duo un CD, qui sera le troisième après les deux achetés en sortie de concert ; aujourd'hui, en jetant un œil au journal local sur le comptoir d'un bistrot, je suis tombé sur cet article…
Concerts bientôt :
Joanne McIver et l’ensemble Awen, celtic voices en concert à l’Espace Ventadour à Égletons le vendredi 21 novembre à 20 h 30. Tarifs : 15 €, réduit 10 €. Billetterie à l’office de tourisme, au 05.55.93.04.34 ou en ligne.
En concert à Saint-Pardoux-L’Ortigier, à la salle polyvalente, les samedi 22 novembre à 20 heures et dimanche 23 novembre à 15 heures ; réservations au 06.83.26.13.58 ou terresdemusique@gmail.com.
Session filmée aux Studios Saint Germain le 5 juillet 2024.
La chanson Les tours d'horloge est apparue en 1997, sur Le jour du poisson, le troisième album de Thomas Fersen.
Si tu passes par là et que tu cherches une chanson avec le mot « chapeau», sers-toi !
Une comptabilité de la première guerre mondiale
Disponible jusqu'au 23/11/2025
Théâtre - 1h21
Auteur : Léonore Confino
Metteur en scène : Julien Boisselier
Ecrivain à succès sur le déclin, Théophile retrouve enfin son inspiration lorsqu'il se lance dans l'écriture d'un petit conte poétique et aquatique. Mais l'interprétation du texte par des membres de son proche entourage se révèle cataclysmique. En effet, ces derniers se reconnaissent dans les traits des personnages d'oursins, de poulpes et autres créatures marines, décelant dans les métaphores des messages cachés.
Extrait de l'album Grand Piano
[damoiseau1671137] — Dans une case était la seule chanson qui m'avait marqué dans l'album… Je l'ai réécouté récemment, je l'ai beaucoup mieux apprécié, j'ai eu quelques surprises – des subtilités dans l'instrumentation qui m'avaient échappé… Je l'ai réécouté encore… Finalement, je vais l'acheter ce Grand Piano.
Viole de gambe et clavecin
Deux morceaux proposés en écoute
[damoiseau1671137] — Disque que je suis en train de réécouter ce soir tard.
→ Bonus ?
En allant sur le site de l'éditeur, L'Encelade, afin de vous proposer cette page, j'ai vu cette annonce d'un nouveau disque, du Lully et autres…, et là aussi deux morceaux à écouter. J'irai écouter un autre jour.
Poème rédigé à Paris dans un café en 1961 par Charlotte Delbo, ex-détenue du camp d'Auchwitz
Ce mercredi 12 novembre, les auditeurs ont été très nombreux à nous écrire après l’interview d’Éric Neuhoff dans le 7h50 de France Inter. Au cours de cet entretien, le nouvel académicien a qualifié la linguiste Julie Neveux de « petite instit bornée ». Les messages reçus expriment une très forte indignation. Les auditeurs dénoncent unanimement le caractère sexiste et condescendant de cette expression, qui rabaisse une chercheuse reconnue et habilitée à diriger des recherches à Sorbonne Université.
par Lord Vinheteiro aux poulets en caoutchouc
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Ces images révèlent des consignes de la hiérarchie normalement interdites, car dangereuses. Et une apparente cruauté de certains gendarmes, qui semblent tirer sans discernement : ils se réjouissent à de nombreuses reprises de blesser lourdement des manifestant·es. À la vue de ces images, l’IGGN aurait pu signaler au parquet ces potentielles infractions : elle n’en a rien fait.
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