Rob Pike appartient à une génération qui a construit l’informatique comme un art de la contrainte, de la sobriété, de la compréhension fine des systèmes. Son rejet viscéral de la GenAI actuelle n’est pas un refus du progrès, mais le refus d’un progrès sans garde-fous, sans responsabilité, sans respect pour ce qu’il consomme.