3 minutes 27 avec Albert Jacquard en 1994 dans l'émission Noms de dieux.
Après des élections européennes remportées haut la main, et la dissolution surprise de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, le Rassemblement national, emmené par Marine Le Pen et Jordan Bardella, est à une marche du pouvoir. Mediapart a donc décidé, exceptionnellement, de permettre la lecture en accès libre d’une sélection d’articles qui racontent les menaces que l’extrême droite fait peser sur la France.
Exposition présentée au musée Michelet, à Brive-la-gaillarde, jusqu'au 12 février 2025
Un plus à l'exposition permanente qu'on peut voir depuis longtemps
Le musée Michelet rend hommage à cette femme artiste pour que le témoignage pictural de son expérience concentrationnaire dans le camp de Ravensbrück ne soit pas oublié.
Au-delà de cette page douloureuse de son histoire, l’exposition met en avant la peintre de Montmartre, qui a côtoyé dans sa jeunesse les plus grands artistes de cette époque (1915-1928). Une vie d’artiste et de bohème avant de devenir une enseignante de dessin.
Philip K. Dick y reprend des thèmes qui lui sont chers. Les personnages de Joe Protagoras explorent une infinité de mondes parallèles et en fabriquent d’autres. Ils finissent par s’y perdre et ne plus reconnaître le vrai du faux, le modèle de la copie. Mais ces quelques pages vont peut-être plus loin encore, puisqu’elles proposent un concept vertigineux — et plus complexe qu’il n’y paraît — qu’on ne retrouve nulle part ailleurs dans son œuvre : le faux faux, c’est-à-dire le simulacre de contrefaçon, ou encore la fausse copie.
Film de 6 minutes 36, proposé par Amnesty International
Notre court-métrage « Dans leurs yeux » met en scène les possibles dérives de la reconnaissance faciale si elle s’installait dans notre quotidien. L’alerte est réelle : la reconnaissance faciale pourrait bientôt arriver en France où le recours aux technologies de surveillance se multiplie.
La reconnaissance faciale menace notre vie privée, accentue les discriminations, porte atteinte à nos libertés fondamentales.
Il suffit d’un seul réglage pour activer la reconnaissance faciale sur certaines caméras. Et il suffit d’une seule loi pour interdire cette technologie.
Le label Death is not the end continue d’exhumer des enregistrements du passé. Ici les enregistrements de Constantin Brailoiu… pionnier de l’ethnomusicologie. Un grand voyage en sons, allant de l’Irlande à la Roumanie, du Japon à la Sardaigne, en passant par les eskimos ! Ce qui surprend ici, c’est que tout fait sens et se mixe de façon naturelle.
aux éditions Métailié
Lecture commencée aujourd'hui entre deux chroniques martiennes, afin de passer d'un autre monde à un autre monde. Je vous ai choisi cet extrait :
« Elle était d'une grande aide pour le ménage. D'autant plus qu'elle me surveillait. Et elle faisait plus encore : elle m'élevait. Mais sans doute ne le savait-elle pas elle-même ; personne à la yourte ne pouvait savoir autrefois qu'il élevait un enfant, et les enfants n'avaient pas conscience d'être élevés. D'ailleurs, ce mot manquait dans notre langue. »
La grotte de Qaleh Kurd est située près du village de Qaleh dans la province de Qazvin, à la limite nord-ouest du Plateau Central Iranien. Cette région entourée des montagnes de l’Alborz et du Zagros, se trouve au carrefour de deux vastes régions : le Levant et le Caucase à l’ouest ainsi que l’Asie centrale et orientale à l’est. […] A ce jour, cette grotte repousse de plus de 300 000 ans la date d’occupation humaine la plus ancienne dans la région.
Dans le deuxième roman que j'ai lu de Michel Bernanos, j'ai relevé cette description :
« Le docteur Gomes était énorme et d’une petite taille qui le faisait paraître tout rond, Son teint olivâtre et ses veux pochés prouvaient que son foie le malmenait, mais sous les paupières gonflées brillait un regard de feu. Il avait une figure épaisse, avec un nez d’un volume nettement au-dessus de la moyenne, agrémenté, sur le côté gauche, d’une verrue aussi imposante qu’une rosette de la Légion d'honneur. Sa chevelure, extraordinaire, tenait de la crinière du lion. Enfin, il parlait avec une voix de tête, et, toutes les fois qu’il ponctuait une phrase, le nez et sa verrue tressautaient. »
Un troisième roman m'attend, et je relirais bien La Montagne morte de la vie…