Le téléphone de l'entraîneur sonnait tout le temps et très fort ; un coachmarphone !
Avec une chanson à écouter et regarder, en même temps : Lampadaires
Les Doigts de L'Homme fêtent leurs 20 ans.
Pour cela, ils sortent un double album ambitieux qui illustre le trajet parcouru le long de ces nombreuses années avec une approche encore plus inédite et personnelle.
De l'acoustique à l'électrique, 23 titres autour d'un jazz de création, "guitaristique", coloré et exigeant.
Et pour respecter la tradition : A chaque nouvel album, un nouvel instrument invité !... C'est le batteur
Pierre Rettien qui rejoint l'équipe pour illustrer ce passage à l’électrique.
[damoiseau1671137] — Dans ma discothèque, Les Doigts de l'Homme ne sont présents que sur un album de chansons qui ne sont pas d'eux : Amélie-Les-Crayons chante avec Les Doigts (de l'Homme)
Bravo aux pompiers
Pas bravo au type qui commente ainsi : « Les pompiers n'ont pas autre chose à faire.»
Ce lundi soir était pourtant banal. Repas en famille, juste un petit coup de mou après. Ça ne m’arrive jamais de m’endormir à 20 h dans le canapé. Mais bon, je m’étais réveillé à 5h15, donc pas si surprenant. Mais le lendemain, pas moyen de sortir du lit. Comme un lendemain de cuite, mais sans la soirée qui allait avec. J’ai prévenu mes collègues, et je me suis recouché, après un autotest négatif. Mon dernier vaccin remontait à huit jours, mais on ne sait jamais. Je n’imaginais pas, à cet instant, que débutait une longue errance médicale…
DU 13 AU 17 NOVEMBRE 2024 au cinéma REX de Brive-la-gaillarde
Rétrospective autour de trois films de Frederick Wiseman : LAW AND ORDER - JUVENILE COURT - HOSPITAL
Un programme scientifique participatif a permis de confirmer la présence d'une méduse d'eau douce au jardin botanique de Lyon. La présence de cette espèce encore méconnue a été rendue possible grâce au travail d'un scientifique, d'un professeur de collège avec ses élèves et du parc de la Tête d'Or.
Film d'animation de 10 minutes et 34 secondes qu'il est mieux de regarder jusqu'au bout du bout.
Je pense qu’en ce moment
personne peut-être ne pense à moi dans l’univers,
que moi seul je me pense,
et si maintenant je mourais,
personne ni moi ne me penserait.Et ici commence l’abîme,
comme lorsque je m’endors.
Je suis mon propre soutien et me l’ôte.Je contribue à tapisser d’absence toute chose.
C’est pour cela peut-être
que penser à un homme
revient à le sauver.
Roberto Juarroz, Poésie verticale, traduit de l’espagnol par Roger Munier
