[…] La question avait pourtant été abordée par la CNIL dés 2015 : « La messagerie électronique et le fax, même s’ils apportent un gain de temps, ne constituent pas a priori un moyen de communication sûr pour transmettre des données médicales nominatives ». Et, si vous utilisez une messagerie, « vous devez impérativement recourir à une messagerie sécurisée intégrant un module de chiffrement des données ».