Le nouveau premier ministre voudra sans doute qu’on oublie ces épisodes, mais son passage à la commission européenne, où il fut en charge du marché intérieur et des marchés financiers (2010-2014), fut marqué par sa docilité, pour ne pas dire servilité, envers les multinationales et les banques. Et pour le secret des affaires.
Fakir s’est replongé dans ses archives…