Comme chaque jour, une œuvre de Tatsuya Tanaka.
avec Gena Rowlands, Peter Falk…
1 melon + 3 cuillères à soupe d'huile d'olive + 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique + un peu de curcuma + beaucoup plus d'origan.
Mixer le tout.
Mettre au réfrigérateur au moins 3 heures.
Sortir du réfrigérateur.
Déguster.
Les représentations des femmes criminelles dans l’art, la littérature ou la presse sont souvent tributaires de stéréotypes ayant peu évolué depuis l’Antiquité. La supposée « fragilité » des femmes, par exemple, leur confèrent le statut d’éternelle victime d’une menace extérieure ou de leurs propres passions, pouvant les mener à la délinquance.
L’iconographie révèle trois catégories archétypales de criminelles : les « séductrices » (prostituées, sorcières), les délinquantes domestiques (coupables d’adultères ou d’infanticides, marâtres, « ogresses »…) et les criminelles politiques (régicides, révolutionnaires, vitrioleuses ou autres pétroleuses) dont l’acte est parfois valorisé (Judith).
Médée représente, à elle seule, la figure emblématique et syncrétique de la criminalité féminine. Nous vous invitons à découvrir les destins de femmes qui, comme elle, ont transgressé le rôle social qui leur était assigné.
New York, 15 juillet 1904, le PS General Slocum entreprend son dernier voyage sur l’East River en direction de Long Island. Alors que le fameux bateau à vapeur américain subit un incendie d’envergure, son équipage ne parvient pas à éviter le naufrage, entrainant avec lui la plupart des 1400 excursionnistes, majoritairement d’origine allemande. Il s’agit de la plus grande catastrophe maritime civile de l’histoire des États-Unis à ce jour. Jan Soeken, allemand lui aussi, nous raconte cet évènement historique sur le ton de l’humour noir.
Exposition présentée au musée Michelet, à Brive-la-gaillarde, jusqu'au 12 février 2025
Un plus à l'exposition permanente qu'on peut voir depuis longtemps
Le musée Michelet rend hommage à cette femme artiste pour que le témoignage pictural de son expérience concentrationnaire dans le camp de Ravensbrück ne soit pas oublié.
Au-delà de cette page douloureuse de son histoire, l’exposition met en avant la peintre de Montmartre, qui a côtoyé dans sa jeunesse les plus grands artistes de cette époque (1915-1928). Une vie d’artiste et de bohème avant de devenir une enseignante de dessin.