de Olivier Razemon
Coïncidence heureuse après mes deux précédents butinages : le Parigot-Manchot a partagé ceci. Je repartage à mon tour, même si je ne sais rien de l'auteur…
L'Holocauste était légal — Cacher des juifs était criminalisé
L'esclavage était légal — Libérer des esclaves était criminalisé
La ségrégation était légale — Protester contre le racisme était criminalisé
→ La légalité n'est pas un guide de moralité
(Butiné je ne sais plus où, à l'origine en anglais.)
Lettre à Messieurs Pannekoucke et Wauquiez en réponse à leur courrier adressé aux agriculteurs de la région Auvergne Rhone-Alpes en date du 7 février. Vous semblez prendre pour acquis que « les agriculteurs » forment un groupe homogène, uniformément positionné contre l’Office Français de la Biodiversité. C’est pourtant loin d’être le cas.
[…]
Que, en tant que représentants de l’État, vous appeliez les citoyens que nous sommes à nous mobiliser contre un organisme d’État nous interroge grandement quant à votre conception de la politique et de la gouvernance.
[…]
Nous vivons dans le capitalisme, ses pouvoirs semblent incontournables, mais c'était pareil pour le droit divin des rois. Tout pouvoir peut être contesté et changé par les êtres humains. La résistance et le changement commencent souvent dans l'art. Très souvent dans notre art, l'art des mots.
Discours de l'auteure/auteuse/autrice Ursuka K. Leguin à la National Book Foundation en 2014.
Dans la langue de Britney Spear :
"We live in capitalism, its power seems inescapable—but then, so did the divine right of kings. Any human power can be resisted and changed by human beings. Resistance and change often begin in art. Very often in our art, the art of words."
Je ne suis sans doute pas le seul, mais je reçois régulièrement dans ma boîte aux lettres des cartes de médiums, voyants, et cie. Comme il est assez dur de s’y retrouver entre les différentes prestations proposées et les garanties apportées par ces différents professionnels, je me suis dit qu’il serait utile de vous proposer un guide, une sorte de comparatif façon UFC-Que choisir, histoire d’y voir plus clair (haha, voir plus clair / médium, t’as compris ?).
33 x 3 minutes
L'économiste Bernard Maris décrypte la société française en cet été 2011, analyse les causes de ce qui n'avance plus et propose modestement des pistes de solutions.
C'était quatre ans avant les attentats de janvier 2015 : Bernard Maris, alias le Tonton Bernard de Charlie Hebdo, qui débattait pendant l'année chaque vendredi avec Dominique Seux dans le 7/9 de France Inter, prolongeait la saison en proposant chaque matin de l'été son regard acéré, tendre et goguenard sur les travers des Françaises et des Français. et l'économie du pays.
[damoiseau1671137] — Je viens de découvrir cette chronique de Laurent Gaudé grâce à une internaute…
On peut y entendre des mots de l'auteur haïtien Lyonel Trouillot.
Émission de 1 h et 8 minutes
[…]
Cette élection américaine a relancé la discussion mondiale sur la façon dont nous sommes informés ou manipulés, à l’heure de la toute-puissance des réseaux sociaux et de leurs algorithmes. Tandis que la fatigue informationnelle nous gagne, face à l’immédiateté, la difficulté de distinguer le faux du vrai et l’extrême droitisation des réseaux sociaux et des médias doit nous interroger.Dans ce contexte chaotique, comment résister ? Comment lutter contre l’extrême droitisation, mais aussi la concentration des médias que nous voyons aussi en France ?
[…]
B comme Besoin : À quel besoin cet achat répond-il ?
I comme Immédiat : Puis-je prendre trois jours pour réfléchir à ma décision ?
S comme Semblable : Ai-je déjà un objet qui pourrait remplir la même fonction ?
O comme Origine : D’où vient le produit et quel est son impact écologique ?
U comme Utile : Cet objet m’est-t-il d’une utilité primordiale ?
Comprendre l'Intelligence Artificielle pour la démystifier
L'objectif de ce site est de partager des clés de compréhension sur ce qu'est l'IA aujourd'hui, des enjeux que ce domaine du numérique pose à nos sociétés et enfin des questions à se poser pour déterminer si tel outil est digne de notre confiance.
(J'ai découvert ce site éducatif grâce au Parigot-Manchot.)
« L’addiction » à la dépense publique, voilà l’ennemi. Cet anathème aura servi de fil rouge aux débats sur les discussions budgétaires automnales. Ceux qui le profèrent feignent d’ignorer que les allègements de cotisations et les baisses d’impôts expliquent largement le creusement du déficit depuis 2017 – 62 milliards d’euros par an selon la Cour des comptes.
Or, ces dépenses publiques, qu’il s’agit aujourd’hui de réduire, financent en bonne part les services publics. A hauteur de combien ? La réponse n’a rien d’évident. Car contrairement à la protection sociale (710 milliards d’euros en 2023), dont le financement est clairement fléché, il est difficile d’isoler la part allouée aux services publics dans le budget des administrations publiques (1 578 milliards d’euros en 2023, qui comprennent aussi les aides aux acteurs privés et la charge de la dette).
« Ce que j’en retiens c’est la capacité de transformation, certes minime par rapport à celle de Google mais absolument non négligeable que peut avoir une minuscule association francophone comme Framasoft
Je trouve ça fabuleux de se dire qu’avec si peu de moyen on a réussi on a réussi à transformer autant de choses »
À la suite de l’annonce par Emmanuel Macron de la prochaine panthéonisation du grand historien Marc Bloch, fusillé par la Gestapo le 16 juin 1944, sa famille a écrit une lettre à Emmanuel Macron lui faisant part de ses souhaits : Pas de religion ! Pas d'extrême droite ! Voici cette lettre dans sa version intégrale.
Cette semaine, l’humoriste évoque le procès du Rassemblement national, la colère agricole et les milliardaires qui mettent la main sur une école de journalisme. Chronique politique enregistrée mardi 19 novembre face au public venu aux Ulis (Essonne) pour son spectacle « Une heure à tuer ».
La démarche privilégiée par le Département genevois de l’instruction publique basée sur des logiciels libres et des solutions ouvertes devrait questionner le reste du pays. Car elle s’avère pertinente du point de vue de la mission de l’école publique
Ils vivent en Israël ou en Palestine et se dressent, chacun, contre les diktats vengeurs de leur camp. Paroles à ces hommes et femmes rescapés de la haine.
« Le bison a une excellente influence sur les écosystèmes forestiers et pastoraux : leur pâturage est très efficace, ils recyclent les nutriments et fertilisent les sols, ils dispersent les graines, ce qui enrichit l’écosystème, et ils compactent les sols, ce qui empêche le carbone stocké d’être libéré »
