Je crois que j'avais déjà partagé cette chanson du temps de la préhistoire du butinage 1671137.
J'ai prêté à quelqu'une un roman de Joseph Conrad ; je l'ai ouvert là où elle a laissé son marque-page, et j'y ai lu ceci :
« Chez n'importe qui d'autre, ç'aurait pu être une manifestation d'ennui, un signe d'indifférence ; mais lui, à sa manière secrète, réussissait à donner à son immobilité l'air d'être profondément réceptive, et aussi pleine de précieuses pensées qu’un œuf l’est de substances nutritives. »
Un bon produit de la maison près de laquelle j'ai passé six nuits cette année. Je l'écris parce que j'ai vraiment aimé, je n'ai aucun partenariat avec cette maison.
3 minutes 27 avec Albert Jacquard en 1994 dans l'émission Noms de dieux.
Après des élections européennes remportées haut la main, et la dissolution surprise de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, le Rassemblement national, emmené par Marine Le Pen et Jordan Bardella, est à une marche du pouvoir. Mediapart a donc décidé, exceptionnellement, de permettre la lecture en accès libre d’une sélection d’articles qui racontent les menaces que l’extrême droite fait peser sur la France.
Exposition présentée au musée Michelet, à Brive-la-gaillarde, jusqu'au 12 février 2025
Un plus à l'exposition permanente qu'on peut voir depuis longtemps
Le musée Michelet rend hommage à cette femme artiste pour que le témoignage pictural de son expérience concentrationnaire dans le camp de Ravensbrück ne soit pas oublié.
Au-delà de cette page douloureuse de son histoire, l’exposition met en avant la peintre de Montmartre, qui a côtoyé dans sa jeunesse les plus grands artistes de cette époque (1915-1928). Une vie d’artiste et de bohème avant de devenir une enseignante de dessin.
Je vais l'entamer au prochain petit-déjeuner car j'ai terminé ce matin le KEEMUN CONGOU venant de Chine.
[damoiseau1671137] — Cette parodie m'a rappelé l'une des véritables déclarations de Macron ; c'était suite à l'apparition du Covid :
« Sachons nous réinventer, moi le premier »
Philip K. Dick y reprend des thèmes qui lui sont chers. Les personnages de Joe Protagoras explorent une infinité de mondes parallèles et en fabriquent d’autres. Ils finissent par s’y perdre et ne plus reconnaître le vrai du faux, le modèle de la copie. Mais ces quelques pages vont peut-être plus loin encore, puisqu’elles proposent un concept vertigineux — et plus complexe qu’il n’y paraît — qu’on ne retrouve nulle part ailleurs dans son œuvre : le faux faux, c’est-à-dire le simulacre de contrefaçon, ou encore la fausse copie.
Film de 6 minutes 36, proposé par Amnesty International
Notre court-métrage « Dans leurs yeux » met en scène les possibles dérives de la reconnaissance faciale si elle s’installait dans notre quotidien. L’alerte est réelle : la reconnaissance faciale pourrait bientôt arriver en France où le recours aux technologies de surveillance se multiplie.
La reconnaissance faciale menace notre vie privée, accentue les discriminations, porte atteinte à nos libertés fondamentales.
Il suffit d’un seul réglage pour activer la reconnaissance faciale sur certaines caméras. Et il suffit d’une seule loi pour interdire cette technologie.
Je ne m'y connais point en foie de lotte, je manque d'éléments de comparaison, cependant celui-ci m'a semblé très bon.