[damoiseau1671137] — C'est la première chanson que j'ai écoutée ce matin du dimanche 23 juin 2024, et le soir venu, il fallait que je la réécoute et que je la partage… Et en la cherchant sur le ouèbe, je suis tombé sur cet article :
Ahl Nana, le trésor enfoui de la musique mauritanienne
[…] Ahl Nana n’a jamais eu l’intention de publier ces chansons et, une fois enregistrés et pressés sur vinyle, les disques n’ont jamais été publiés correctement et ont presque tous fini à la poubelle.
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La bonne question n’est pas celle du « sérieux » – la politique actuelle à maints égards n’est pas sérieuse ni socialement, ni économiquement, ni budgétairement - mais de savoir quel est le cap de politique économique que nous choisissons pour faire face aux incertitudes et répondre aux questions écologiques et sociales qui se posent. Car oui, il y a le choix.
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Ce qui serait “sérieux”, et démocratique, c’est que les médias d’information utilisent le temps de cette élection pour mettre en perspective les visions de politiques économiques alternatives des trois pôles : la baisse des prélèvements et des dépenses sociales de LREM, espérant faire revenir de la croissance, sa version amplifiée par le RN assortie d’une politique économique xénophobe motivée par des orientations racistes, et le changement de cap proposé par le Nouveau Front Populaire qui fait le pari d’une réorientation écologique et sociale, appuyée par la fiscalité et dans une perspective keynésienne.
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« J’ai essayé de faire un petit graphique pour tenter d’aider quelqu’un qui n’y connaîtrait ou n’y comprendrait à peu près RIEN à se repérer pour les élections. »
Un dessin
[…] Faute de moyens, de nombreuses missions et pistes de recherche stagnent ou sont à l’arrêt depuis des années. « Il n’y a, par exemple, plus de formation sur les risques du bâtiment, alerte Jérôme Grosjean, secrétaire CFDT du CSE sur le deuxième site de Vendœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle). C’est le problème de la production intellectuelle au long cours sur une filière professionnelle qui sert ensuite à faire de la prévention : on ne peut pas être dans une vision à court terme. Avec le dernier coup de rabot, on n’a pas pu embaucher les six postes fléchés sur l’étude des risques psycho-sociaux. Sans compter les potentiels dangers pour la santé qu’on n’arrivera pas à détecter. »
La survie même de l’INRS pourrait être en jeu. « Nous avons de quoi payer les salaires jusqu’en septembre et ensuite, ça va être compliqué », explique Sophie, une des employées. […]