POINT DE SITUATION SUR LES VARIANTS
MODELISATIONS
PERSPECTIVES POUR LE MOIS DE MARSVittoria Colizza, Simon Cauchemez, Pierre-Yves Boelle, Arnaud Fontanet, Yazdan Yazdanpanah, Jean-François Delfraissy
Source : https://solidarites-sante.gouv.fr/
Le gouvernement a choisi de ne pas faire ce qui a été préconisé dans cette note.
5 x 30 minutes
Comment devient-on sociologue, philosophe, lu dans le monde entier et au-delà du cercle académique, quand on est né dans une famille ouvrière de Reims ? Il n’y a assurément aucune trajectoire rectiligne entre les deux. Didier Eribon le sait personnellement, il l’a éprouvé dans sa chair : on ne trouve ni classe préparatoire, ni agrégation, ni grande école, ni thèse de doctorat dans son propre parcours universitaire.
[individu1671137] — J'ai écouté alors que tout ce que je connais de Didier Eribon est une adaptation théâtrale de son livre Retour à Reims, que j'ai vue sur scène, et pratiquée un peu lors d'un stage de théâtre précédant la représentation.
Si la vie de Didier Eribon avait été une fiction, j'aurais pu penser que l'auteur avait trop chargé le personnage.
[individu1671137] — Je pensais que la réponse était oui ; je pense encore que la réponse est oui.
L'acide bétulinique, les salycylates de méthyle, principes actifs, sont contenues dans l'écorce et non dans la sève. D'ailleurs, l'écorce de tige et les feuilles sont inscrites à la liste A de la pharmacopée française. La sève de bouleau n'est pas inscrite dans la pharmacopée française.
[…]
Certains sites traitant de la sève de bouleau renvoient sur des sources qui mettent en évidence des propriétés pour...l'écorce, les feuilles, l'huile essentielle, le sirop de bouleau mais jamais pour la sève. Il faut être vigilant sur cette confusion entretenue.
Témoignage d'un professeur, de ses débuts à aujourd'hui.
En 1981, dans un entretien accordé à Patrice Galbeau, Louise Weiss avait raconté de quelle façon elle s’était engagée dans le combat suffragiste, en 1934, après seize années passées à diriger l’Europe nouvelle, la revue qu’elle avait co-fondée. Elle rappelait qu’après sa fameuse "campagne d’ironie" menée avec les suffragettes françaises, la Chambre des députés avait, à l’unanimité, en juillet 1936, voté un texte en faveur du droit de vote des femmes – texte qui ne fut jamais, hélas, inscrit à l’ordre du jour du Sénat.
30 minutes
Cet entretien fait partie d'une série consacrée aux pionnières du féminisme
Je ne parle pas de la complexité pour l’utilisateur, par exemple des problèmes qu’il ou elle peut avoir avec telle ou telle application Web, ou tel formulaire incompréhensible ou excluant. Non, je parle de la complexité des nombreuses technologies sous-jacentes. Alors, si vous n’êtes pas technicien·ne, vous avez peut-être envie d’arrêter votre lecture ici en pensant qu’on ne parlera que de technique. Mais ce n’est pas le cas, cet article est pour tous et toutes.
[…] Ce que révèle d'ores et déjà cette pandémie, c'est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, notre Etat-providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe. Ce que révèle cette pandémie, c'est qu'il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d'autres est une folie. […]
[individu1671137] — ♫ paroles paroles ♫
5 x 29 minutes d'entretien à écouter
[individu1671137] — Une sorte d'histoire de France de Giscard à Sarkozy.
Juge d’instruction, Renaud van Ruymbeke est devenu au fil de sa carrière une figure emblématique de la lutte anti-corruption. Pionnier des enquêtes politico-financières, il s’est illustré très tôt, jeune magistrat, par un esprit de farouche indépendance, refusant de se soumettre aux pressions des parquets.
Dans un billet précédent j'évoquais les remontées de chiffres parfois fantaisistes dans l'éducation nationale en narrant la façon dont les choses se passaient dans mon collège...
Ben vendredi on a eu du nouveau: des cas avérés de COVID chez les enseignants...
Rencontre radiophonique avec l’auteur, comédien et metteur en scène David Geselson. 8 janvier 2021. 42 minutes.
Dans Lettres non écrites, David Geselson met son écriture au service de spectateurs désireux de donner chair à une lettre, pour laquelle ils n'ont jusqu'alors jamais trouvé les mots ou franchi le seuil de l'écriture. Une parution d'un recueil de ces lettres aura lieu aux éditions du Tripode. Il sera également question de son spectacle Le silence et la peur traitant de la vie de Nina Simone, dont les représentations ont été perturbées par la pandémie.
[individu1671137] — En Corrèze, nous devions voir Le silence et la peur… Nous avons vu en 2019 Lettres non écrites ; et auparavant, En Route-Kaddish ; et encore avant, Doreen (avec Laure Mathis).
Vous êtes sur le point de vivre un déjà-vu: un morceau de cour de récré, une marelle, des ombres chinoises ou des crottes de nez. Un son comme de la buée avec des petits doigts qui gribouillent la tête à Toto: votre enfance dans vos oreilles.
Monsieur Barbarin est Vincent Malone, "le roi des papas", "le roi de la trompette"…
La mondialisation par les objets du XVIIIe siècle à nos jours
sous la direction de Pierre Singaravélou et Sylvain Venayre, éditions Fayard. 464 pages.
On peut lire là l'introduction Le monde, les objets, les humains puis quelques chapitres :
Vidéo de 3'38
Aux USA, dans l'Utah, un pont pour les animaux a été construit au dessus d'une route à six voies. Ce pont a été inauguré en décembre 2018. La vidéo compile des passages d'animaux.
Serait-il possible, dans le lien d'une vidéo youtube, d'ajouter un paramètre afin que le son soit coupé ? → Courriel si oui
Film de Suzanne Chupin, 52 minutes
Aujourd'hui, il n’est pas rare d’apercevoir, au hasard d'une manche qui se relève ou d'un pull qui remonte sur les hanches, les contours d'un tatouage. Mais pourquoi se marque-t-on la peau ? Longtemps subversif ou infamant, le tatouage est entré dans les mœurs. Qui mieux que lui pour parler du corps contemporain ?
[individu1671137] — Je ne veux pas de tatouage sur mon corps. J'ai la hantise de devoir un jour poser mes lèvres ou passer ma langue sur un tatouage ou même près d'un tatouage ; je crois que je ne pourrais faire l'amour avec une personne au corps tatoué que dans le noir complet. À part ça, je suis intellectuellement tolérant.
J'ai vu une personne avec un tatouage : un code-barre ; c'était il y a longtemps, bien avant la mode du tatouage, avant même qu'on inscrive des codes-barre sur tous les livres… J'ai trouvé l'idée bonne, un code-barre sur le corps dans notre monde de consommation à outrance ; l'idée était horriblement bonne.
J'aime cette chanson très connue de Georges Brassens qui commence par :
C'est le tatouage cette chanson
[…] le droit à la parole, sur le sujet de l’ouverture des libraires, est bel et bien réservé aux auteurs et aux patrons de librairies. C’est bien la parole d’Edouard Louis qui a été relayée par la presse dans Les Inrocks, celle d’Emmanuel Carrère par France Inter et non celle d’une salariée sur son épuisement et ses douleurs aux cervicales. En faisant comme si le point de vue des intellectuels était parfaitement neutre, ce qu’il n’est pas. […]
J'ai lu cet article grâce au Parigot-Manchot.
"Nous tenons comme à la vie à chacune de nos libertés fondamentales, et notamment à la liberté d’expression." Jean-Michel Blanquer a prononcé cette phrase le samedi 17 octobre 2020, en réaction à l’assassinat de Samuel Paty. Ce même jour, au même moment, son avocat était en contact avec Mediapart afin de les sommer de retirer plusieurs cases de la BD que je lui ai consacrée il y a plusieurs mois.
À la radio j'entends parler d'occupation pendant le confinement : « Télévision, musique, livres. »
Personne, absolument personne ne parle des jeux vidéos. Jamais. […]
[individu1671137] — Les jeux vidéos : un monde qui m'est étranger ; il y a peut-être de bonnes choses mais je crois que je vais continuer à les rater…
Cette carte, nourrie des informations publiées ces derniers mois et années dans la presse locale et nationale sur les suppressions de lits dans les hôpitaux, n’est évidemment pas exhaustive. Nous la compléterons en fonction des données qui nous parviendront à la suite de cette publication. Pour nous informer à ce sujet, vous pouvez nous écrire à basta@bastamag.net
Ou via ce formulaire : https://framaforms.org/suppression-de-lits-dans-les-hopitaux-publics-francais-aidez-basta-a-les-recenser-1603889009
Benedictus Albertus Annegarn, dit Dick, est auteur-compositeur-interprète. Il est néerlandais mais chante essentiellement en français, et c'est dans cette langue qu'il a donné pour France Culture une Masterclasse.
C'est une émission de radio qui a été filmée. Dick Annegarn est avec sa guitare. Durée : 1h06.
On aurait pu penser que l’assassinat abject d’un enseignant vendredi à Conflans-Sainte-Honorine allait susciter une condamnation unanime et une solidarité sans faille avec les enseignants. Cela n’aura été que partiellement le cas, certains responsables politiques ou commentateurs s’en tenant à une compassion de façade qui leur a permis avant tout de ressasser leurs obsessions sur l’islam radical, sur les islamo-gauchistes, sur la laïcité, etc.
[individu1671137] — Un peu plus loin, suit un retour bienvenu à l'histoire…
Quatre épisodes d'environ 55 minutes chacun qu'on peut écouter à la suite ou indépendamment…
De LSD, la série documentaire, j'avais écouté avant Au-delà du clitoris ;
j'écouterai bientôt : Politique et race en France, un mariage dangereux…
[…] dans le Génie lesbien, Coffin ne dit pas qu'il faut «éliminer» les hommes tout court, comme s'il fallait les supprimer, mais les «éliminer de nos esprits, de nos images, de nos représentations» afin de se construire en tant que femmes. Et, quelques lignes après, elle ajoute : «L'art est une extension de l'imaginaire masculin. Ils ont déjà infesté mon esprit. Je me préserve en les évitant. Commençons ainsi. Plus tard, ils pourront revenir.»
Le gouvernement français vient de durcir à nouveau les règles dans le but de limiter la propagation du Sars-CoV-2 et de l’épidémie de Covid-19. Dans cet entretien, Pierre-Henri Gouyon explique que ces règles sont élaborées sans avis éclairé de la communauté scientifique dans son ensemble. Pourtant, sans large diffusion de l’état des connaissances sur la maladie, la responsabilisation des citoyens restera lettre morte.
Depuis la fin du mois d’août, la question de l’insécurité fait de nouveau la Une des médias. Au programme : mise en spectacle de faits divers, statistiques utilisées à tort et à travers, sondages orientés... Nous revenons sur ce traitement médiatique avec Laurent Mucchielli, sociologue et spécialiste des politiques de sécurité.
(C'est la rentrée de LSD, La série documentaire.)
Quatre épisodes de 55 minutes environ chacun
Une série fabriquée à distance et à 34 mains avec les moyens du bord et la légèreté de la radio pour raconter et faire entendre les 55 jours de cette drôle de vie à l'ombre du coronavirus.
Épisode 1 : Vivre confiné et s’échapper
Le confinement a joué comme un révélateur, a exacerbé les tensions, les inégalités sociales et les violences familiales. Il est l’occasion de réinterroger l’organisation de notre espace social et familial.
Épisode 2 : Travailleurs déconfinés
Le confinement a fait émerger les emplois indispensables. Il a fait ressortir toute une catégorie de travailleurs et de travailleuses qui doivent rester en activité au contact des autres et très souvent sans garantie de sécurité.
Épisode 3 : Confinés sur internet
Tik Tok, Tutos, You Tube, Twitter, Facebook, Zoom, école à distance, jeux vidéo en ligne… La créativité des internautes, associée à l’hyper-médiatisation de la réalité, a abouti à l'élaboration collective d'un paysage sonore numérique qui porte la mémoire de cette période si particulière.
Épisode 4 : La recherche au temps de la covid
De l'espoir d'un vaccin à l'histoire en train de s'écrire, comment la recherche et les chercheurs ont été traversés par ce printemps hors norme et qu'est-ce que ça a fait aux objets de recherche ?
[…] le numéro du président français, accouru jeudi à Beyrouth, a de quoi soulever le cœur. On ne peut s’empêcher de penser que la juteuse reconstruction de la capitale libanaise et de son port par Vinci, Bouygues, Bolloré et consorts importe plus que tout à Emmanuel Macron. Le VRP autoproclamé de l’industrie française n’a pas attendu que l’onde de choc soit pleinement dissipée pour appeler le Liban à des «réformes», dont celle du secteur électrique. Autrement dit, la privatisation d’Electricité du Liban (EDL), qui est attendue de pied ferme par Paris depuis 2002.
De nombreuses femmes ont abandonné leur soutien-gorge pendant le confinement mais pas sûr que cette nouvelle habitude dure avec le retour du métro et du boulot
[individu1671137] — J'ai déjà entendu parler il y a très longtemps (plus de dix ans) de l'abandon du soutien-gorge ; j'en ai quasiment toujours vu depuis…
Au Jardin des Plantes à Paris
Durée : 49 minutes
On sort, on robinsonne partout, on bat le pavé avec un artiste. Là où il choisit d’aller, nous irons. Aurélie Sfez déambule en bonne compagnie, dans les rues et le labyrinthe intime de ses invités. Une balade radiophonique, toujours en marche, avec un artiste qui guide les pas des auditeurs de Nova sur les lieux qu’il chérit et les territoires qui l’inspirent.
Dans les vrais médias, les quartiers populaires, c’est pas compliqué : un coup, c’est les horribles dealers, un coup, c’est les violences contre nos braves policiers, un coup, c’est le voile et les barbus contre notre civilisation. Rien de nouveau. Voilà bien longtemps que le pouvoir bourgeois stigmatise les « classes dangereuses ». Mais voilà aussi longtemps que la classe populaire lutte et résiste.
[…]
Reportage vidéo de 21 minutes.
Fragments électriques, n°1
Rom (Uomini)
Frammenti elettrici, n. 1
Yervant Gianikian, Angela Ricci Lucchi
Italie / 2001 / 13:11
Une jeune mère élégante conduit sa fillette vers le bord du lac. Bientôt, c'est toute la famille qui s'approche pour dévisager les étrangers qui ont installé leur campement sur la rive : une famille tsigane de retour de déportation.
Un documentaire d'Aurèle Jacquot
22'52 à écouter
Mon copain Corentin est royaliste, militaire et d'extrême-droite. On n'a rien en commun sauf nos souvenirs de bringues. Il me raconte sa foi, ses opinions politiques, son engagement dans l'armée sur les traces d'un père dont la figure brutale le hante. De l'amour du Roi à celui des drogues, de la foi chrétienne à une virée dans un bordel de Djibouti, confessions d'un jeune homme pas si catholique.
Algérie / 1966 / 22:35
Au lendemain de l'indépendance, des lycéennes algériennes s'expriment sur leur vie et comment elles envisagent l'avenir, la démocratie, leur place dans la société.
Ce film est l'un de ceux proposés sur Henri, la salle virtuelle de La Cinémathèque française, ouverte pendant le confinement « jusqu'au retour des beaux jours, quand nos salles pourront rouvrir ».