Au cours des XIVe et XVe siècles, la mort est partout en Europe ! Les épidémies de peste, les guerres – particulièrement celle de Cent Ans – et les épisodes de famine déciment la société médiévale. Les mentalités vont être marquées par ces phénomènes macabres où jeunes et vieux, riches et pauvres, sont frappés indifféremment. Dès lors, la mort – et ses représentations – vont faire leur apparition dans les arts et la littérature mais aussi dans les livres d'heures : Ars moriendi, danses macabres ou ornements de l’office des morts.
Planches didactiques de l'Institut Pasteur présentant les coupes microscopiques des principales maladies touchant l'humain.
Anja Rožen est Slovène, elle avait 13 ans quand elle a fait cette œuvre.
Une bonne idée si vous voulez tapisser vos murs.
Graveur plasticien, Jean-Pierre Lécuyer est né à Épinal en 1940. Durant ses études à l’École nationale des Beaux-Arts de Nancy, il s'initie aux techniques de la gravure. Ce n'est qu'en 1968, 8 ans après l'obtention de son diplôme de communication visuelle, qu'il expérimente la gravure sur bois qui deviendra son expression artistique de prédilection.
Vidéo
Poème-action de Charles Pennequin
Un épisode de Vénus s'épilait-elle la chatte ?
Durée d'écoute : 54 minutes 43
Tantôt érotisées, idéalisées ou sanctifiées, tantôt démembrées ou torturées, souvent dénudées et toujours muettes, les femmes mortes sont omniprésentes dans l’art occidental. Que ce soit dans la littérature, les beaux-arts ou le cinéma, elles sont si nombreuses qu’on en vient à trouver ces images normales, sans se demander d’où elles viennent et ce qu’elles véhiculent. Avec Elisabeth Bronfen, autrice de Over Her Dead Body: Death, Femininity and the Aesthetic, cet épisode s’interroge sur l’ampleur de l’esthétisation des mortes, notamment à travers la fascination pour les belles mortes, les liens entre art et médecine, l’héritage de la culture chrétienne, l’instrumentalisation des féminicides au nom de l’art, les stéréotypes misogynes que ces œuvres alimentent, et ce qu’elles disent des sociétés occidentales, où les violences de genre et les féminicides sont bien réels.
Avertissement : cet épisode contient des mentions de féminicide, de viol, de torture et de suicide.
Ses tableaux ne montrent pas la même chose selon la distance à laquelle vous les regardez. C'est impressionnant hein ? C'est filmé à Dijon, je les ai vus en vrai ^^
il y a même des neurologues qui s'intéressent à ce qu'elle fait, parce qu'ils pensent qu'elle ne doit pas avoir le cerveau comme tout le monde pour arriver à faire ça !
Un album de photographies de Sebsauvage.
85 photographies (je n'ai pas encore tout regardé)
Exposition : « Jacobus Vrel. Enigmatique précurseur de Vermeer », jusqu’au 17 septembre à la fondation Custodia, Paris (75007)
→ https://www.fondationcustodia.fr/Jacobus-Vrel-Enigmatique-precurseur-de-Vermeer-207
Bien que rudimentaire de par leurs formes, ces panneaux ne représentent pas des pancartes de manifestation, mais bien des objets urbains planter dans le décor. En ce sens ils reprennent la forme officielle des supports d’affichage que nous retrouvons en ville et sur les bords des grands axes routiers. Chacun de ces panneaux par les antiphrases qu’il arbore tente de pousser jusqu’à son paroxysme le langage du pouvoir et des relations publics. Dans cette démarche langagière, l’artiste prend le sens des mots au pied de la lettre et considère par là avec conséquence leurs incidences sur l’organisation sociale et les agendas politiques.
[individu1671137] — Un bon article du journal La Montagne, c'est rare.
→ Plus : À Brive, le dessinateur Émile Bravo évoque sa série sur Spirou et Fantasio sous l'occupation
Exposition au musée Michelet à Brive la Gaillarde du 19 juin 2023 au 27 janvier 2024
[individu1671137] — Enfant, je n'ai jamais lu Spirou ; j'en ai entendu parler « comme tout le monde ». J'ai découvert Spirou il y a quelques années avec la reprise du personnage par Émile Bravo dans Le journal d'un ingénu. Aujourd'hui, je ne connais que le Spirou d'Émile Bravo aux éditions Dupuis…
J'irai voir cette exposition. Puis au musée Michelet, il y a toujours au dernier étage l'exposition permanente d'Anna Garcin-Mayade.