L’artiste Léonore Mercier a réalisé le vidéoclip de “Cœur battant”, morceau posthume d’Anne Sylvestre disparue en 2020 […]. Comment filmer une personne absente ? Explications de la vidéaste.
Le clip est visible au sein de l'article ; et on peut le mettre en plein écran…
Son siège, las de le porter, s’était rompu, et le gros homme, étendu à jambes rebindaines, se démenait comme une tortue retournée en poussant des gloussements inarticulés.
[…] Regardez-moi bien. Je suis la terreur de l’univers, l’ami de la Camarde, la providence des fossoyeurs ; où je passe, il pousse des croix. C’est à peine si mon ombre ose me suivre, tellement je la mène en des endroits périlleux. Si j’entre, c’est par la brèche ; si je sors, c’est par un arc-de-triomphe ; si j’avance, c’est pour me fendre ; si je recule, c’est pour rompre ; si je couche, c’est mon ennemi que j’étends sur le pré ; si je traverse une rivière, elle est de sang, et les arches du pont sont faites avec les côtes de mes adversaires. Je me roule, avec délice, au milieu des mêlées, tuant, hachant, massacrant, taillant d’estoc et de taille, perçant de la pointe. Je jette les chevaux en l’air avec leurs cavaliers, je brise comme fétus de paille les os des éléphants. Aux assauts j’escalade les murs, en m’aidant de deux poinçons, et je plonge mon bras dans la gueule des canons pour en retirer les boulets. Le vent seul de mon épée renverse les bataillons comme gerbes sur l’aire. Quand Mars me rencontre sur un champ de bataille, il fuit, de peur que je ne l’assomme, tout dieu de la guerre qu’il est ; enfin, ma vaillance est si grande, et l’effroi que j’inspire est tel, que jusqu’à présent, apothicaire du Trépas, je n’ai pu voir les braves que par le dos.
Parapharmacie = dopage aux jeux paralympiques
Cette question fréquemment posée par les lecteurs et visiteurs de la Bibliothèque nationale de France est aussi celle qui suscite le plus de débat ! Pourtant, nos experts sont formels : contrairement à une idée répandue, l’usage de gants pour manipuler des ouvrages présente des risques majeurs et est fortement déconseillé, sauf dans quelques cas très spécifiques… et rares.
Ce bois a des ifs, je n'en décolle pas !
Paris2024 : j'attends les épreuves de parapente.
[…] elle avait été protégée par Léo Ferré qui disait d’elle : « La beauté insoumise de Catherine et sa colère chevillée à l’âme incommodent le show-business, il faudrait des dizaines de RIBEIRO pour que la chanson recouvre la majesté des humbles ».
Critique de Claude Fléouter, parue dans Le Monde du 8 novembre 1971