Après avoir annoncé qu'elle ne seraient conservées que pendant 3 mois, afin de rassurer la population, le gouvernement avait depuis allongé cette durée à 20 ans, au motif que le droit prévoyait préalablement une telle durée dans le système national des données de santé, et qu'il n'y avait pas de raison que les données relatives à la Covid-19 diffèrent des autres données de santé.