Un personnage vient de se suicider et on lit :
[…] Et ce misérable sans pieds ni mains, qu'il fallait coucher et faire manger comme un enfant, ce lamentable reste d'homme dont le peu de vie n'était plus qu'un hurlement de douleur, cria dans une indignation furieuse :
— Faut-il être bête pour se tuer !
[individu1671137] — Ceci est la fin d'un roman dont je tairai le titre. Jusqu'à aujourd'hui (9 août 2021), j'ai toujours été enthousiasmé par la fin des romans de cet auteur qui, dans tout ce que j'ai lu de lui, laisse l'un de ses personnages conclure par une déclaration.