Peu après la dernière gorgée d'une pleine théière de tisane de fruits rouges, j'arrivai à la fin d'un chapitre quand j'ai commencé à sentir la fraîcheur du soir sur mes jambes nues et à entendre les lycéens descendre la rue en parlant fort, raisons qui me firent fermer le livre et les porte-fenêtres, sans me presser car l'une des collines de l'autre côté de la rivière était belle, d'une couleur presqu'étrange dans la lumière du soir ; et je voulus écrire tout cela, et tant pis si je ne suis pas poète.