Après une année de lutte pour pouvoir mourir, celui qui ne considérait plus sa vie «digne» est allé en Suisse, où sont autorisés les suicides assistés.
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Avant de mourir, Alain Cocq a adressé un message aux parlementaires, mais aussi au président de la République, pour que sa mort permette de faire bouger la loi. Alors qu’un projet de loi a été récemment adopté par une majorité de députés allant dans ce sens, le gouvernement a expliqué que «ce n’était pas encore le moment».