Selon une étude menée dans dix-huit pays sur cinquante ans, les baisses d'impôts pour les plus riches ne génèrent ni croissance ni emplois.
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Cet argument du ruissellement continue pourtant d'être mis en avant: baisser les impôts des plus riches les encouragerait à investir davantage dans l'économie réelle, générant croissance et emplois; les pousserait au mécénat, enrichissant l'offre culturelle; et ferait revenir les exilés fiscaux, ce qui serait bon pour les finances publiques. Une fable.